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CELIA WA

CELIA WA

Nouvel Album “Fasadé”

Née à Paris  mais ayant grandit en Guadeloupe, Celia commence la musique par le «Ka» (percussion traditionnelle antillaise) à l’école du grand George Troupé, puis se consacre ensuite à la flûte. Elle fera sa première scène à 12 ans pour ne plus la quitter.
 De retour à Paris, elle s’immerge dans la culture Hip Hop, notamment la danse qui deviendra son métier avant qu’elle ne décide de revenir à la musique et sorte deux EP mélant musique éléctronique et musique antillaise traditionnelle (Gwo ka).

Dans l’univers musical en constante évolution, une voix s’élève, portant avec elle les échos d’un passé riche et les promesses d’un futur audacieux. Célia Wa, artiste guadeloupéenne aux multiples talents, nous offre avec “Fasadé”, son premier album, une odyssée sonore qui transcende les frontières et les époques.
Le chemin vers “Fasadé” n’a pas été sans obstacles. Trois EP ont jalonné ce parcours, telle une expédition ardue à travers le massif montagneux des îles de la Caraïbe.
Pourtant, rien n’a pu ébranler la détermination de cette artiste portée par une identité créole puissante et inébranlable; traces indélébiles laissées dans la mémoire collective d’un peuple, c’est en Créole que les récits se racontent.
Et même sans le maîtriser dans toutes ses finesses, la force de l’interprétation de Célia, la musique qui l’accompagne et tout ce qui l’embellit, sont tels qu’au-delà de la langue, il est impossible de ne pas en saisir l’intention. Ni de ne pas se laisser emporter par les émotions qui guident chacun des neuf titres. Par cette énergie qui transcende la colère, autant que la soif de vengeance venue des moments où la vie a ouvert sous ses pieds des failles desquelles il a fallu remonter. Parfois difficilement.
C’est pourtant bien de tout cela qu’a émergé une résilience sans faille. Celle qui, aiguillée par l’amour, la foi, et la passion, permet de continuer à avancer, la démarche assurée.

De faire naître des idées de titres, d’esquisser des bases, avant de se réunir autour de ceux qui sont devenus un noyau dur avec lequel tout se fait depuis dix ans : les claviers de Xavier Belin, et la batterie de Kristof Négrit.
Au trio, s’ajoute David Walters, que Célia a longtemps accompagné sur la route des concerts, qui apporte sa touche en composition et arrangements. Ensemble, ils créent un son qui voyage bien au-delà des frontières des Caraïbes.
Imprégnée de tout ce qui irrigue musicalement sa Guadeloupe, le coeur battant comme un tambour gwoka, revigorée des percussions tonnantes de Roger Raspail, bercée par la nonchalance du reggae de Kingston, Celia a dépassé les seules limites de l’arc Caribéen. Braver un océan aux flots chargé de voyages sans retour pour se relier au Sénégal et à la kora d’Ousmane Kouyaté, progresser encore vers l’Est jusqu’au Nigéria et au chant d’Owomide. Renouer avec des racines et un passé commun, et faire que les différences s’additionnent dans une formule qui rend naturel l’échange et l’apport mutuel.
Et ne jamais oublier qu’avant tout, la musique doit libérer les corps et les esprits, même les plus marqués. Servir d’exutoire aux moments les plus sombres, pour les laisser loin derrière.
Et faire danser

credits

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Born in Paris but having grown up in Guadeloupe, Celia started playing music with the “Ka” (traditional West Indian percussion) at the great George Troupé’s school, and then devoted herself to the flute. She made her first stage appearance at the age of 12 and never left it.

Back in Paris, she immersed herself in the Hip Hop culture, especially dance, which became her profession before she decided to return to music and released two EPs mixing electronic music and traditional West Indian music (Gwo ka).

 

Energy and inspiration come from the Gwoka. From these hands which, when they are not a raised fist, pound the drums, proud of their roots and of their Guadeloupean identity.

This is where Celia Wa comes from, from all that she inherited by spending her childhood between the West Indies and France.

The first years of her life were spent discovering the musical soul of the island, letting the seven gwoka rhythms seep into her until they became an integral part of her. The following years were spent discovering reggae, salsa, jazz and the omnipresent hip hop. Music whose original source was close to her, but to which she only opened up after having travelled thousands of kilometres.

After two self-produced EPs, Wastral is the sum of these inspirations and influences.

Born in the acoustic, it is under the modern and futuristic production of Victor Vagh (producer of Flavia Coehlo) that the seven tracks were revealed and then sublimated. Dissipated in the vaporous arrangements, softened under the effect of the synthetic layers, the organic was meticulously covered with an electro varnish disturbed by the echoes and reverbs of the dub. Celia Wa’s soaring, twirling flute grazes or stirring the groove, her lyrics reviving the memory of her island.

In Creole or in English, they tell the story in the present tense without forgetting the past. A past full of the sounds of struggles, of clashing chains and cracking whips, marks that have disappeared from bodies but remain deeply rooted in families and history.

New feminine signature at Heavenly Sweetness, Celia Wa draws with Wastral the map of an avant-garde stellar journey in which the musical star of Guadeloupe shines bright.

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