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Erè Mèla Mèla

Erè Mèla Mèla

Reissue of the original ethiopian vinyl album.

“The re-release series of original Ethiopian classic vinyl continues — the finest Ethio jazz by Mahmoud Ahmed and his band from 1975 plus two tracks from 1978. The liner notes: ‘Melancholy blues, piercingly minimalist country airs, brassy, danceable urban jazz, heart-wrenching, off-key crooners: a rich and stirring patchwork of sounds, crossing Afro-beat, Latino-swing moves and Eastern arabesques (Anaïs Prosaïc).‘ Such were the first — informed and enthusiastic — opinions of the music press when the first strains of modern Ethiopian music sounded on our shores. This was in 1984-1985. Such a positive note, struck about such a country at such a time, created plenty of reverb. The country had been so thoroughly trashed by the media’s feeding-frenzy, which spewed out a mix of horror and pious pity, bitter denunciation and humanitarian appeals, wallet-tickling clichés and refusal of identity. In one brutal swoop, TV-reality transformed Ethiopia into a cursed nation, forsaken by God and by man. In contrast to these tragedies, but in the same hackneyed tones, Mahmoud Ahmed’s life resembles an edifying fairy-tale where destiny, talent and achievement combine to triumph over poverty, fate and the evil eye. Biography, history and legend, with the help of God, infallibly weave the lesson of merit rewarded. But who can argue, in spite of the mockery that celebrities invariably draw, when faced with one of the greatest voices in all of Africa? Once upon a time, there was a street urchin in Addis Ababa, who started off as a shoe-shine boy and went on to become one of his country’s biggest stars, opening the door to Ethiopian music to Western audiences.” –Francis Falceto

Réedition de l’album original ethiopien

 «La série de réédition de vinyle classique éthiopien d’origine continue – le meilleur de l’ Ethio Jazz par Mahmoud Ahmed et sa bande enregistré en 1975 plus deux pistes de 1978 Extrait des notes de pochette : ‘Du blues mélancoliques, des airs de campagne âprement minimalistes, cuivrés, du jazz urbain dansant: un patchwork riche et émouvant de sons, traversant l’afro-beat, se déplaçant vers le Latino-swing et  les arabesques orientales (Anaïs Prosaïc) ». Tels étaient les premiers – et enthousiaste – avis de la presse musicale quand les premières notes de la musique éthiopienne moderne sonnaient sur nos côtes C’était en 1984-1985 une note positive pour un pays frappé aussi durement à un ce moment là.  Le pays avait été tellement saccagé par la frénésie des médias, un mélange d’horreur et de pitié pieuse ,  d’âpre dénonciation et d’appels humanitaires. D’un seul coup brutal de TV-réalité l’Ethiopie était transformé  en une nation maudite, abandonné par Dieu et par les hommes. Contrairement à ces tragédies, mais dans les mêmes tons éculés, la vie de Mahmoud Ahmed ressemble à un conte de fées hallucinant où le destin, le talent et les réalisations se combinent pour triompher  de la pauvreté, du  sort et du mauvais œil. Biographie, histoire et légende, écrivent  invariablement, avec l’aide de dieu, la leçon du mérite récompensé. Mais qui peut exprimer des remarques, malgré les moqueries que les célébrités attirent invariablement, face à l’ une des plus grands voix dans toute l’Afrique? Il était une fois, un gamin des rues à Addis-Abeba, qui a commencé comme un cireur de chaussures et est devenu l’une des plus grandes stars de son pays, ouvrant la porte à la musique éthiopienne auprès du public occidental ». – Francis Falceto 

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